Description
“Je n’ai pas le temps… “. Alors, je passe à la vitesse supérieure… Ce faisant, je m’éloigne du sens profond des choses et je contribue à une société névrosée et impersonnelle. Plus, plus tôt et plus vite ne sont pas synonymes de meilleur.
L’auteur applique ce principe au champ éducatif — scolaire, familial et personnel : il envisage un temps qui permet notamment de retrouver le sens de la diversité des rythmes d’apprentissage. L’éducation lente ne signifie pas agir lentement, mais savoir trouver le temps adapté à chacun et à chaque activité.
Eduquer lentement, c’est ajuster la vitesse au moment et à la personne. Faire un éloge de l’éducation lente, c’est faire l’éloge d’un modèle éducatif essentiel pour l’humanisation de la société. Le temps n’a pas à coloniser notre vie ni celle de l’école ou des familles ; le temps appartient aux enfants, aux parents et aux professeurs. Pleinement vécu, il est pleinement éducatif.
(Introduction reprise du site Grandir Autrement)
- Editeur
- Chronique Sociale