Communiqué de presse

IEL-VD

L’Association s’inquiète des contraintes pédagogiques induite par la nouvelle loi. Celles-ci empêcheront d’adapter les apprentissages aux besoins individuels des enfants, en plus de crouler sous les contraintes administratives : de quoi décourager les familles à démarrer.

Précisions : L’exposé des motifs de la loi précise qu’une grille horaire et un suivi strict du Plan d’études romand sera demandé annuellement, ce qui retire à l’instruction à domicile son principal outil : la souplesse pour accompagner les apprentissages des enfants.

L’Association des parents d’élèves (APE)

L’APE s’inquiète de la réduction de l’offre scolaire alternative. Avec la nouvelles loi, les parents ne seront plus maîtres de leurs choix. Il leur faudra demander une autorisation pour entamer une autre voie d’instruction ou se tourner vers les petites écoles privées restantes.

Instruire.ch

L’Association Instruire.ch s’inquiète des contraintes économiques induites par la loi : il ne sera plus possible pour une petite école privée de vivre sans une base économique puissante. Les petites structures innovantes ou en quête de sens qui pourraient se développer dans l’avenir n’auront pas leur place sur sol vaudois. Seules les grosses écoles financièrement inaccessibles pour la majorité des familles pourront continuer de vivre.